Le point de vue de l’éditeur


Pascal Dessaint est bien connu pour ses polars aux éditions Rivages. Il excelle aussi dans le format de la nouvelle où son talent se déploie en toute liberté. On y retrouve ses préoccupations sociales et écologiques, sa fascination pour les oiseaux, et surtout son humour noir, ses personnages sur le fil, son goût pour la folie ordinaire chère à son maître Bukowski. Qui mieux que lui pour décrire les dérives de l'époque en associant humains et animaux et singulièrement les oiseaux ? Quel secret derrière ces corneilles, pies, moineaux, merles, aigles, bernaches, hirondelles, balbuzards, rossignols, loriots —sans oublier le milan noir et le bruant zizi qui chante le soir… Il y a aussi des chauves-souris, un papillon orangé, un caïman, des écrevisses invasives et un grand lapin blanc en bas résille rose. Et puis de l'amour, des tronçonneuses, des supporteurs de football, et un confinement. Le tout est sombre et brillant. Tonique.

JUSQU’ICI TOUT VA MAL


La Déviation 2022














ON EN DIT DU BIEN


Vivre ensemble et respecter la nature sont les messages forts de ce recueil parfait.

BLACK NOVEL


À la Soulages

Sur le blog de Gilles Vidal


K-LIBRE

le blog de Julien Védrenne


Comment Pascal Dessaint réussit-il à nous maintenir par la seule force de son verbe, chancelants mais toujours debout, au bord

du précipice ? (…) Cela tient du miracle,

celui des mots et celui du talent. 

Michel Dargel dans INTRAMUROS


Un petit bijou

Isabelle Cacheux LA VOIX DU NORD


Ce recueil de nouvelles a le goût salé de l'eau

de mer, la mâche d'une noix fraîche et le croquant d'une noisette poivrée, que l'on roule dans la bouche, avant de la broyer à pleines dents.

Pascal Polisset BLOG 813


Pascal Dessaint évoque avec passion

et humour noir les dérives de l’époque…

Jean-Paul Guéry LA TÊTE EN NOIR


Une nouvelle réussite éclatante

Yves Gabay LA DÉPECHE DU MIDI


On peut déceler ici et là, par touches,

ce qui fait de Pascal Dessaint une des voix

les plus puissantes du roman noir français ; il lui suffit de quelques mots, d’une tournure de phrase,

d’un personnage qui (sur)vit, préférant le destin

à l’avenir, pour comprendre que l’on tient là une âme, une de celles qui peignent du corps au cul, du cul au cœur, du cœur au cru.

La chair est humaine, non ?

Sur le blog de François Braud


BLACKLIBELLE

le blog de Lionel Germain


COLLECTIF POLAR