Le point de vue de l’éditeur
«Je suis revenu de loin mais j’en suis revenu, et c’est bien tout ce qui compte. Je n’en serais pas à écrire ces lignes. Au fond, tous ces événements ont eu sur moi un effet cathartique.»
Émile est un jeune toulousain au chômage. Il va de galère en galère. Sa rencontre avec un certain Étienne-Jean Fister va changer sa vie. Pour le pire ?
Après La vie n’est pas une punition, Pascal Dessaint renoue avec le personnage d’Émile, perdant résilient qui sait trouver des issues à sa façon, même quand il n’y en a pas. Il en profite pour brosser un tableau mi-drôle mi-amer du milieu littéraire.
À TROP COURBER L’ÉCHINE
1997
Rivages/Noir n°280
DANS LA PRESSE
Ainsi va la vie dans les comédies noires et entêtantes de Pascal Dessaint. Entre galère et folie douce, fraternité et malheur d’aimer. Une sorte de marche forcée… “À trop courber l’échine” compose un univers en demi-teinte fait de poésie acidulée et de tendresse désespérée.
Michel Abescat/LE MONDE
Pascal Dessaint est de ces êtres humains qui puisent dans le réel, dans le fardeau des hommes, pour en tirer une belle leçon, sans morale. Une leçon de choses. De la vie…
François Braud/L’ÉCOLE ÉMANCIPÉE
Pascal Dessaint est un des romanciers les plus pétillants du moment sur la scène du polar français.
Yves Demay/
RADIO SUISSE ROMANDE
Pascal Dessaint est sans doute l’écrivain le plus doué, le plus prometteur de sa génération. Sa plume court sur la page blanche, comme le furet, enchaînant des dialogues pétillants d’humeur et d’humour. On rit, on pleure, désespère, on se paie une tranche de cafard, mais on n’est jamais loin de l’éclaircie jubilatoire.
Alfred Eibel/LA TÊTE EN NOIR
Un ballon d’oxygène d’une légèreté lunaire.
Cédric Fabre/TÉLÉRAMA
Toute la force de cette sombre histoire tire sa noire beauté d’un vrai style d’écriture.
Catherine Simon/
LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE
DU CENTRE