Le point de vue de l’éditeur
« Décider de tuer un homme n’est pas tout. Encore faut-il choisir le moment favorable et surtout la bonne arme. À ce moment, la question du courage reste secondaire, elle se posera bien assez tôt. »
Boris, naturaliste, est expert auprès des industriels qui veulent imposer des projets controversés dans certains territoires. Il s’arrange pour que ses rapports ne soient pas défavorables. Autrement dit, il a plus ou moins vendu son âme au diable.
Dans un paysage de mer, de dunes et de pins, une maison futuriste et cossue se dresse. Son propriétaire a imposé cette construction dans une nature sauvage, grâce au pouvoir de son compte en banque.
Dans cette même contrée, un groupe industriel veut implanter une unité de stockage de matières dangereuses. Pour les opposants, c’est une Zone A Défendre. Une libellule va leur prêter main forte…
Entre terre et mer, un roman noir aux intrigues savamment entrecroisées, dans l’ambiance particulière des Landes
UN HOMME DOIT MOURIR
Rivages 2017
RIVAGES/NOIR n°1066
DANS LA PRESSE
À la démonstration idéologique, Dessaint a ici
privilégié une réflexion sur ces lois dites
de transition énergétique, parfois tellement
insignifiantes face à une décision d’actionnaires…
Hubert Artus/LIRE
Pascal Dessaint est à son meilleur : Une écriture
élégante alliée à un inaltérable sens de l’humour.
Jocelyne Hubert/L’INDIC
Ses personnages ne sont ni totalement bons,
ni totalement mauvais, et en cela, le roman interroge
d’autant plus, triture d’autant la conscience du lecteur.
Annick Michaud/LA VOIX DU NORD
Du cœur et du souffle.
Jean-Marc Le Scouarnec/LA DÉPÊCHE DU MIDI
Pascal Dessaint a ce pouvoir d’embarquement
immédiat, un pouvoir d’envoûtement.
Lionel Germain/SUD-OUEST
À travers le destin et les errances de Boris
et Alexis c’est tout un système de pensée
que Pascal Dessaint analyse
Renaud Junillon/ SANG FROID
Pascal Dessaint n’a pas fini de s’intéresser
aux prédateurs en tous genres.
Maylis Jean-Préau/Le Journal Toulousain
Impeccablement ficelé par un Dessaint
au sommet de son art.
Yves Gabay/LA DÉPÊCHE DU MIDI
Inlassablement, Pascal Dessaint poursuit son combat écologique via de solides romans noirs et militants.
Jean-Paul Guéry, COURRIER DE L’OUEST